Ocrelune
La cité d’Ocrelune
Ocrelune est une ville de bois située en plein cœur de la forêt des Vertelarme. Une rivière serpente le long de la colline d’Ocrelune et forme une boucle qui traverse la cité du nord-est au sud-est. Une palissade haute de 4 mètres environ entoure la cité. La ville est plutôt dense et sa croissance ne pourra se faire qu’a l’extérieur de cette limite. Quelques maisons commencent d’ailleurs à fleurir au sud, le long de la rivière. La grande rue prolonge la route sud, ou route de la forteresse, jusqu’à la Grand Place. Deux autres rues rejoignent la place centrale depuis le nord pour former un Y, la rue des Arts (qui se poursuit par la route de Moscagne) et la rue des Hauts (qui annonce la route de Flamblune).
La ville d’Ocrelune est divisée en plusieurs quartiers qui regroupent souvent les habitants d’un même secteur d’activité. On trouve par exemple un quartier marchand, qui regroupe une majorité des boutiques, ou bien encore un quartier érudit, où l’on trouve la bibliothèque et les échoppes des écrivains publiques. Bien entendu, ces quartiers spécifiques comportent aussi nombres de maisons et abritent tout de même une bonne part de la population d’Ocrelune.
L’éclairage de la ville est assuré grâce à une pâte inflammable produite à base de sève extraite des arbres alentours. Cette pâte, dont on forme de fines mèches, se consume lentement en produisant une très douce lumière orangée. Elle a l’avantage de ne pas s’enflammer trop facilement, et on peut l’éteindre sans risques en l’écrasant.
Les quelques ateliers d’artisans qui se partagent le secret de fabrication de cette pâte veillent jalousement sur celui-ci. Personne ne sait si le procédé nécessite la sève d’un arbre spécifique ou bien si de la sève d’un arbre quelconque suffit. C’est sans doute le secret le plus jalousement gardé de tout Ocrelune.
La Grand Place
Ce quartier tient son nom de la grande place pavée qui sied en plein centre de la ville. Les bâtiments administratifs d’Ocrelune se trouvent tout autour de cette place. Sinon, quelques riches demeures et quelques boutiques luxueuses forment le lot quotidien de ce quartier.
Salmenzir « le souriant », dirigeant du Théâtre des Ombres Dansantes (mort)
L’Hôtel du Bourgmestre
Alcène Corianthe, le bourgmestre d’Ocrelune
La Maison de Justice
Les audiences sont organisées deux fois par semaine à la Maison de Justice. Le juge Capello est amené à rendre un jugement concernant les affaires les plus graves d’Ocrelune, la milice étant habilitée à régler elle-même les larcins et autres petits délits dont elle est témoin. Quand une telle affaire se présente, le juge peut faire convoquer n’importe quel habitant pour qu’il témoigne devant lui.
Le juge Hadrien Capello, représentant du Baron à Ocrelune
Dame Liliane, l’épouse du juge Capello (morte)
La guilde des avocats
Le siège de la célèbre guilde des avocats se situe non loin de la Maison de Justice. Comme dans toute cité qui se respecte, toute personne accusée peut engager un membre de la guilde des avocats pour le défendre. Les farfadets de la guilde se feront un devoir de défendre leur client, tant que celui-ci peut les payer bien entendu.
Eshelan, dirigeant de la guilde des avocats (Farfadet)
La boutique d’antiquités de Marquiel
Marquiel tient une boutique d’antiquité dont la vitrine donne directement sur la grande place. C’est sans doute le local commercial le mieux situé de tout Ocrelune. On peut dénicher de véritables trésors dans cette boutique qui exhale le si doux parfum du passé.
La demeure de Démon
Certains habitants d’Ocrelune prétendent que le Baron aurait pactisé avec les Abysses et octroyé une maison de la Grand Place à un Démon. Ces mêmes personnes racontent que certaines nuits, sur la Grand Place, on peut entendre les échos des pratiques impies du nouveau propriétaire des lieux. Seul le Baron connaît la vérité mais toujours est-il que l’ancien propriétaire de la maison a bel et bien quitté les lieux.
Le quartier Marchand
Le quartier marchand regroupe la plupart des échoppes et des boutiques d’Ocrelune, ainsi que le siège de quelques compagnies marchandes. Le quartier s’étend en principalement au sud-ouest de la Grand Place ainsi que le long de la partie sud de la grande rue. Quel que soit l’objet de vos désirs, vous le trouverez sans doute dans l’une des innombrables boutiques de ce quartier. Quant à savoir si vous le trouverez à un bon prix, c’est une autre histoire.
La guilde marchande
La guilde marchande rassemble tous les farfadets qui tiennent commerce en Ocrelune. Son siège se trouve dans une belle bâtisse en plein cœur du quartier Marchand, non loin de la taverne du bon accord.
Les tavernes
Au bon accord
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La taverne des caravaniers
Cette taverne est le lieu de rencontre et de négociation préféré des caravaniers keshites. En effet, dans un cadre richement décoré de coussins et de tentures de soie évoquant la riche tente d’un prince marchand, la taverne met à disposition tous les éléments traditionnels de la négociation commerciale keshite : Le thé et les dattes servis aux trois phases de la négociation, la musique traditionnelle, les hôtesses dévouées, tout est réuni pour que les deux parties s’entendent à merveille.
Le denier
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Les entrepôts
Ce quartier est pour ainsi dire une partie du quartier Marchand. La plupart des marchands qui traitent beaucoup avec les caravaniers possèdent un entrepôt dans ce quartier. Les compagnies marchandes, quant à elles, disposent souvent de plusieurs grands hangars pour accueillir leurs marchandises.
La place des échanges
La rue qui traverse le quartier s’élargit pour former la place des échanges, l’un des lieux les plus animés de la ville. Dès qu’une caravane de commerce arrive à Ocrelune, la place des échanges prend des allures de souk cosmopolite.
Les greniers
A chaque extrémité du quartier, on peut trouver un grenier ainsi qu’un réservoir d’eau. Le Baron a décidé de faire construire ces deux bâtiments pour que la ville puisse continuer à se nourrir en cas de disette, ou d’autre chose…
Le champ de foire
Le champ de foire est une vaste place réservée aux marchands ambulants et aux foires estivales organisées par les commerçants de la ville. Si le besoin s’en fait sentir, les forains peuvent parfois être autorisés à s’installer sur la Grand Place en complément du champ de foire.
Le quartier des artisans
On trouve de tout dans ce quartier. Forgerons, tisseurs, tanneurs, rémouleurs et autres potiers, vous n’avez que l’embarras du choix. Mais c’est aussi dans ce quartier que l’on produit la fameuse substance qui sert à l’éclairage de la ville.
L’Ambassade des nains de l’Equerre
Cette ambassade, qui tient place dans le quartier des Artisans, est tenue par Thanis de Tslana, un nain quadragénaire originaire de la capitale des Communes Princières. Il est secondé par ses quatre acolytes, tous l’ayant accompagné dans sa « déchéance ». En effet, il estime que son affectation par l’Equerre dans une ville de bois au cœur des forêts est une marque de désapprobation de la part de l’organisation. En fait, il pense qu’un membre au placé de l’Equerre a souhaité se débarrasser de lui.
Thanis de Tslana, ambassadeur des nains de l’Equerre (Nain)
La boutique d’Hardim Valor, fabricant d’armes
Située au sud du quartier des Artisans, à quelques pas de la place centrale, la boutique d’Hardim Valor est attenante à sa forge. Ses prix peuvent sembler un peu exagérés mais vu la qualité de son travail, les clients ne rechignent pas à mettre la main à la bourse.
Hardim Valor, illustre fabricant d’armes (Ogre)
Les ateliers de Marveau
Les ateliers de fabrication de meubles d’Henri Marveau font travailler une bonne trentaine d’ouvriers du bois. Les affaires de Marveau s’étant développées, il a étendu la surface de ces ateliers en rachetant quelques locaux adjacents aux anciens ateliers.
Les tavernes
La taverne de la Forge Rougeoyante
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Le Repaire des Bâtisseurs
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Le quartier des auberges
Comme son nom l’indique, ce quartier regroupe un bon nombre d’auberges d’Ocrelune. Situé aussi près de la Grand Place que du quartier marchand, il attire en effet la plupart des voyageurs de passage dans la cité. Cette prédisposition à accueillir les voyageurs de tous horizons en fait l’un des quartiers les plus cosmopolites de toute la ville.
La guilde Hôtelière
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Bertold Ridelune, dirigeant de la guilde Hôtelière
Les auberges
L’auberge de la Lune Rousse
C’est dans cette auberge que s’est installé Mortelame, un homme alliant des compétences de mage éclipsiste et d’escrimeur.
Elso Orderis, patron de la Lune Rousse
Mortelame, mystérieux escrimeur du trait gris
L’auberge de la Dryade Echanteresse
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Aux Délices de Kesh
Le propriétaire de cet établissement a fait sa réputation grâce à ses spécialités culinaires toutes droites importées du célèbre Empire de Kesh. Lui-même originaire de ces contrées désertiques, rares sont les soirées où il n’a pas d’oreilles attentives aux contes ensoleillés qu’il narre avec passion.
L’auberge de la Halte Sylvaine
La Halte Sylvaine est une belle auberge de trois étages au décor verdoyant et champêtre. Des vignes grimpantes recouvrent presque entièrement les murs extérieurs de la bâtisse.
Béryl Fronbois, le patron de la Halte Sylvaine
L’auberge de la Rencontre
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Les tavernes
La taverne de la Dryade
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L’oasis d’Ocrelune
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La taverne de la Coupe d’Or
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Au Satyre Enjoué
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Chez Dame Mélancole
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Au Repos du Bûcheron
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Le Masque Joyeux
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La taverne des Hautes Vignes
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La taverne de la Clairière Ombragée
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Le quartier des plaisirs
C’est le quartier de vie nocturne par excellence. Nombre de voyageurs et de résidents souhaitent profiter de quelques soirées pour se détendre un peu, et c’est exactement ce que propose les « commerces » du quartier. Que vous soyez un flambeur incurable, en quête d’une compagne pour la nuit ou bien adepte de plaisirs plus vaporeux, le quartier des plaisirs vous offre tout ce que vous désirez.
Les maisons closes
La maison de la Rose Rouge
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La maison de la Douce Rencontre
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La maison des Nymphes
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Les maisons des fumées
Les Brumes
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La maison des Rêves Perdus
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Le Mirage
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Les salles de jeux
Le sou vaillant
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La destinée
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L’arène
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Les tavernes
Chez Bacchus
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La taverne des nuits sans fin
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Au repos du guerrier
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Le quartier des érudits
Ce quartier est articulé autour de la bibliothèque de la ville qui fait la fierté de tous les savants d’Ocrelune. On y trouve aussi des échoppes des écrivains publiques, des enseignants près à louer leur service, des orateurs qui haranguent la foule ou bien encore des mages de passage qui aiment à retrouver leurs confrères. Depuis peu, le milieu artistique d’Ocrelune semble avoir pris ce quartier en affection et il n’est pas rare d’y croiser quelques peintres en plein travail ou bien des musiciens de rue.
Armand de Monvilliers, critique d’art
Dalembert, mage de l’éclipse citoyen (mort)
La bibliothèque
Ce vieux bâtiment fait sans doute partie d’un des plus anciens d’Ocrelune. Il regorge de vieux manuscrits, de cartes et de vieux parchemins. Les ouvrages sont répartis sur deux niveaux, le rez-de-chaussée et une mezzanine à l’étage. Les tables qui ornent le centre de la pièce sont à disposition des visiteurs. Pour ceux qui auraient oublié leur matériel, le nécessaire d’écriture peut être acheté sur place.
Le Doyen Vincent, le directeur de la bibliothèque
La Plume d’Or
Perdu dans l’entrelacs des nombreuses rues anonymes du quartier, le promeneur chanceux peut découvrir la librairie de la vieille Kaladan. La spécialité de la maison est l’art, ou plutôt les arts. On peut y trouver de célèbres romans, des recueils de poésie classique, des traités de peinture ou bien encore des ouvrages d’histoire de l’Art. Quelques rares ouvrages relatent des événements marquants de l’histoire locale. Kaladan n’étant plus toute jeune, elle se fait aidée par une jeune femme répondant au prénom d’Alicia. La librairie en elle-même n’est pas très grande, à peine une vingtaine de mètres carrés, mais un escalier en colimaçon permet au curieux d’accéder au sous-sol de la bâtisse. Celui-ci révèle des étagères débordantes de manuscrits usés par le temps et de rouleaux de parchemins dans leur écrin. Parfois, si l’on saisit un ouvrage, on se demande si l’une des étagères ne va pas s’écrouler. Les ouvrages sont plutôt chers mais c’est le prix à payer pour une telle qualité et un tel choix.
Kaladan, vieille tenancière de la Plume d’Or
Alicia, jeune vendeuse à la Plume d’Or
La guilde des petits chasseurs
Les dirigeants de la guilde ont élu domicile dans le quartier des érudits pour des raisons pratiques. En effet, les mages de passage ayant tendance à se réunir en son sein, les petits chasseurs trouvèrent plus pratique d’être à proximité de leurs clients bien que l’activité de chasse en elle-même se pratique dans Ocrelune tout entière. La guilde régit la petite chasse de manière à conserver un nombre de danseurs à peu près constant à Ocrelune. Gare à celui qui est pris à chasser les danseurs sans l’aval de la guilde.
Les auberges
L’auberge du vieux parchemin
Situé non loin de la bibliothèque, cet établissement fort bien tenu est très en vue parmi les érudits d’Ocrelune. Il n’est pas rare d’y rencontrer quelques savants, un verre de bon vin à la main, en grande discussion historique ou philosophique. L’auberge sert de lieu de rencontre privilégié des mages éclipsistes à qui le patron, Maître Anselme, réserve une arrière-salle tranquille en cas de besoin. Même si cela n’a rien d’officiel, ce n’est un secret pour personne.
Maître Anselme, patron de l’auberge du Vieux Parchemin
Aurim Lamefer, éclipsiste (nain)
Les Tavernes
La source
Description à écrire
Le quartier farfadet
Comme son nom l’indique, il est presque exclusivement habité par des farfadets. La rivière, assagie par de multiples canaux, traverse cet ensemble de petites maisons entassées les unes contre les autres. Le quartier est quadrillé par un entrelacs de ruelles tortueuses où seuls les petits habitants des lieux se retrouvent. Quelqu’un d’agile pourra sans trop de mal traverser l’ensemble du quartier de toit en toit sans jamais poser le pied à terre. Certaines rumeurs racontent que le quartier serait le repère de contestataires et de comploteurs ennemis du Baron.
Perlin, dit « La Fauvette » (Farfadet – mort)
La Coutelle, Prince Voleur d’Ocrelune (Farfadet – mort)
Laonia, ex-espionne infiltrée dans la Baronnie Fantôme (Farfadine)
La Cabale de l’Astre de Feu
Comme toute les cabales farfadines, elle défend une cause pour laquelle ses membres œuvrent de concert. La Cabale de l’Astre de Feu prône le retour d’Ocrelune sous le giron de la Baronnie de Flamblune. Elle ne regroupe qu’une faible minorité de la population farfadine de la ville mais elle est très active. Milan Larovic est rentré en contact avec ce groupe dès son arrivée et l’a très vite intégré.
Les tavernes
La farfadine enjouée
C’est une taverne plutôt « basse de plafond » (comprendre réservée aux farfadets) où tous les plaisirs se vendent ou s’achètent. On dit que c’est un lieu de rencontre de prédilection pour nombre de farfadets membres de la guilde de la maraude.
La taverne de l’acrobate
Description à écrire
La taverne des nuits orangées
Description à écrire
Les quais
Le quartier tire bien entendu son nom des quais qui bordent la partie supérieure de la rivière d’Ocrelune. On dit de ce quartier qu’il y fait bon vivre, ou plutôt ses habitants le disent. Les autres ont souvent du mal à supporter les odeurs de poissons qui emplissent parfois l’air. La plupart des habitants sont des anciens du village ayant toujours vécu des produits de la rivière.
Le port
Avec la cité c’est développé un petit port de commerce qui, même s’il ne semble pas très florissant, génère une petite activité qui fait vivre quelques dockers. Quand les attaques de brigands se font trop nombreuses, le port semble redoubler d’activité. En effet, nombre de marchands préfèrent voir leurs cargaisons transiter jusqu’au lac plus au sud pour éviter les pillages.
La capitainerie
Les capitaines des quelques navires de passage sont conviés à s’y présenter dès leur arrivée. Comme pour le port, l’activité n’est pas des plus frénétique mais le responsable en charge de la capitainerie effectue son travail avec soin. Si un navire est passé au port, vous êtes certain de pouvoir le retrouver sur les registres.
La demeure d’Henri Marveau
La demeure familiale de ce notable d’Ocrelune profite d’un cadre agréable. Située sur les hauteurs des quais, à deux pas de la rue des Hauts, elle est bien évidemment meublée avec beaucoup de goût. Il semble qu’Henri Marveau trouve sa demeure trop désuète puisqu’il a décidé d’en faire construire une plus grande sur la colline, dans le Bois d’Ocrelune.
Les auberges
L’auberge de la garde ambrée
C’est un établissement qui paraît plutôt exigu vu de l’extérieur. En fait, l’auberge est aux deux tiers enterrés ce qui lui permet de conserver une température idéale en toute saison. L’intérieur est bien aménagé et les prix conviennent plus à des personnes relativement argentées. Tenue depuis des années par Maître Barance et aidé dans sa tâche par Karina la serveuse, cette auberge est depuis peu à vendre. En effet, Maître Barance était un émissaire du Masque et il trouva la mort quand la preuve de sa complicité dans l’affaire des meurtres de la Tour d’Elysiana fut faite par la Compagnie d’Inspirés.
L’établissement a été racheté par le réseau de renseignement de la baronnie. L’un des membres les plus zélé du service, Esteban, a été désigné pour tenir l’auberge.
Maître Barance, ancien tenancier de la Garde Ambrée et pantin du Masque (mort)
Karina, serveuse à la Garde Ambrée (morte)
Armand de Montvallon, une des victimes d’Elysiana (mort)
Adrianne de Montvallon, sœur d’une des victimes
Angevin de Lambreville, noble janrénien en fuite
Les tavernes
La vigie
Description à écrire
La taverne des eaux tranquilles
Description à écrire
Les bas fonds
Ce « quartier » regroupe une bonne partie de la lie d’Ocrelune. Les mendiants, les détrousseurs et les coupe-gorges y sont monnaie courante et peu de gens « comme il faut » ose s’aventurer dans ce quartier sans bonnes raisons. Il n’est pas rare de trouver un pauvre bougre baignant dans son sang au détour d’une sombre ruelle.
La demeure de la baronnie fantôme
Description à écrire
Lowir, membre de la Baronnie Fantôme
Natlana, membre de la Baronnie Fantôme (nain – mort)
Kelwin, membre de la Baronnie Fantôme (satyre)
Les auberges
L’auberge de l’arbre noir
Des lits crasseux, un tord-boyaux à l’origine obscure et un repas comestible, voilà tout ce que peut vous offrir cette auberge. Certains disent qu’il est plus sage de dormir à la belle étoile, d’autres que tous les clients qui entrent dans cette auberge n’en ressortent pas forcément le lendemain… Quoi qu’il en soit, voilà des années que le l’auberge de l’arbre noir existe et malgré sa sinistre réputation, le patron ne s’est jamais plaint du manque de clientèle.
Les tavernes
Chez Nicodème
Cette taverne était un point de rendez-vous de certains membres de la Baronnie Fantôme : Lowir, Laonia et leurs compagnons.
La taverne des Assoiffés
Description à écrire
La Tanière du Gricrocs
Description à écrire
La taverne de la Chope d’Etain
Description à écrire
Les bordels
Le Pavillon
Le nom complet de cet établissement est le pavillon de chasse, en référence à l’ancien manoir des Vertelarme sur la route de Moscagne.
Les tripots
Les Milles Fortunes
Ce tripot bien connu des habitants des bas quartiers était la propriété du certain Akilan. Malheureusement pour lui, un homme ressemblant « étrangement » au Principal Atamore a mis le feu à son établissement. L’homme a tout perdu dans les flammes qui ont ravagé la bâtisse. Un farfadet du nom de Milan Larovic est prêt à financer la reconstruction du tripot et cherche à convaincre Akilan, pour l’instant peu réceptif, de relancer son affaire.
Akilan, propriétaire des Milles Fortunes
Milan Larovic, un investisseur opportuniste (farfadet)
La caserne
La caserne est le quartier général de la milice de la ville. Le bâtiment est des plus sûre, à tel point que le Baron en fait son lieu de résidence lors de ces visites à Ocrelune. La caserne semble assez grande pour accueillir le double des effectifs actuels au besoin.
La milice
La milice d’Ocrelune comprend une centaine de membres. De jour, elle se fait relativement discrète mais reste disponible rapidement. En effet, chaque quartier comporte un ou deux postes de gardes qui couvrent chacun une portion de la ville. La nuit en revanche, les patrouilles sont plus fréquentes et seuls les bas-fonds échappent à la surveillance nocturne de la milice.
Capitaine Landrin, chef de la caserne
Les Sapeurs
Cette unité nouvellement créée par le Baron a pour but de prévenir rapidement tout risque d’incendie en repérant au plus tôt tout départ de feu à Ocrelune et en menant rapidement une lutte efficace contre le feu. Pour cela, le Baron a ordonné la construction de trois tours de guet qui surplomberont même les plus hautes demeures de la ville. Rattachée à la milice, cette unité comporte actuellement une trentaine de membres en cours de formation.
La colline d’Ocrelune, futur quartier bourgeois
Le Bois, comme le nomme les habitants de la cité, est l’un des vestiges les plus anciens d’Ocrelune. Cette colline est aujourd’hui encore recouverte d’arbres de l’antique forêt des Vertelarme.
Naya Cœurardent, membre influent des Chênais d’Ocrelune (Lutin)
Le Palais du Baron
La construction d’un Palais sur les hauteurs du Bois d’Ocrelune a commencé. L’ordre de l’Equerre a officiellement annoncé, par la voix de son représentant Thanis de Tslana, qu’il allait bâtir un somptueux palais en l’honneur du Baron Philippe de Vertelarme. L’Ordre tient par ce fait à témoigner sa très grande gratitude au Baron pour l’aide qu’il lui a apporté.
La nouvelle demeure de Marveau
Le Baron vient de vendre un terrain de quelques centaines de mètres carrés à Henri Marveau, le célèbre fabricant de meubles d’Ocrelune, pour qu’il puisse s’y faire construire une demeure.
Henri Marveau, riche fabricant de meubles
Les abords d’Ocrelune
Les abords regroupent toutes les constructions qui se trouvent de l’autre côté de la palissade.
Le camp de bûcherons
Le camp de bûcherons se situe au sud-est de la ville, auprès de la rivière. Quelques maisons se sont construites à l’extérieur de la ville, contre la palissade elle-même. Une fiévreuse activité a débuté il y a quelques mois avec la construction d’une scierie. Celle-ci devrait être terminée avant la fin de l’automne et rentrer en service au printemps suivant. La production de bois sera acheminée par la rivière jusqu’aux villages qui bordent le lac.
La Foire aux bestiaux
Organisée deux fois l’an, la foire aux bestiaux occupe les terrains vacants situés au sud-ouest de la cité, au pied de la palissade. C’est l’occasion pour les habitants de toute la Baronnie de se réunir à Ocrelune. C’est une période faste attendue par tous les marchands et commerçants de la cité.
Fosse commune, cimetière
Sans commentaire.
Les alentours
La tour d’Elysiana
Située à quelques kilomètres d’Ocrelune, la tour s’élève sur une colline au nord de la ville. La route qui longe la rivière au nord mène à un pont qui permettait autrefois de traverser la rivière. Aujourd’hui, le pont est sectionné de manière si régulière que seule la magie peut expliquer le phénomène. De l’autre côté du pont s’étend une route qui devait permettre de rejoindre la tour. Un peu plus au nord, la rivière offre un guet qui permet le passage des hommes et des animaux. Une fois la rivière traversée, un chemin forestier peu large et peu entretenu permet de rejoindre la tour au cœur de sa clairière. Une autre méthode pour atteindre la tour consiste à utiliser une barque pour rejoindre un autre chemin forestier un peu plus praticable. La tour en elle-même est composée de blocs de pierre mangés par la mousse et noircis par le temps. Elle mesure une vingtaine de mètres de haut et semble en assez bon état.
Elysiana, la sorcière de la tour (méduse)
Dromion, traître de l’Equerre en fuite (nain – mort)
La demeure du marchand de Rocheronde, Gondrand de la Belle Védère
Situé à une trentaine de kilomètres sur la route de Moscagne, cette belle demeure entourée d’un jardin de belle facture est un ancien manoir de la famille de Vertelarme. A cette époque, le Baron et sa cour y résidaient pendant les parties de chasse. D’autres histoires racontent que le Baron aimait à s’isoler du château (et de la Baronne) pour des parties d’un tout autre genre. Le gibier y était réputé peu farouche…
Gondrand de la Belle Védère, marchand de Rocheronde
Lampion, palefrenier de Gondrand de la Belle Védère
Les fermes
Il y a trois ou quatre fermes aux alentours d’Ocrelune. Le terrain est en effet peu propice aux cultures et ces fermes se concentrent plus sur l’élevage. Elles assurent une partie de l’approvisionnement en produits de base d’Ocrelune (lait, beurre, etc).